Gloria Gaynor

Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles Gloria Gaynor est synonyme de "Je vais survivre". Les diagrammes disco et pop de panneau de panneaux simples de 1978 sont allés platinum et ont remporté la meilleure discothèque enregistrant la seule année que les Grammys ont reconnu le sous-genre. Un majeur s'il y en avait un, il a défini la norme par laquelle tous les anthèmes de persévérance ultérieurs ont été mesurés. Son appel éternel a été reconnu par le Grammy Hall of Fame et le registre national d'enregistrement. Les liens inextricables, cependant, obscurcissent la profondeur et la gamme de carrière de Gaynor. Un chanteur d'âme à travers et à travers, Gaynor n'était pas un succès de nuit. Quand elle est devenue Supernova, ses débuts enregistrés avaient 13 ans et elle avait des hits, dont une version de 1974 de "Never peut-elle dire au revoir" qui a précisé le premier tableau du club de panneau et traversé dans le top dix du diagramme pop. Bien qu'elle ait enregistré rarement depuis le début des années 80, son club numéro un frappe debout près de 30 ans, à travers les célibataires du début des années 2000 ", gardant simplement la pensée à toi" et "je n'ai jamais su." Elle libère de nouveaux matériaux, y compris le témoignage de la LP de 2019 de l'Évangile et reste une artiste active.
Ne peut jamais dire au revoir
Gloria Fowles a grandi dans un nouveau ménage de Jersey à une large gamme de musique . Pendant l'enfance, elle souhaitait devenir chanteuse à elle-même et a finalement suivi son père en tant qu'interprète. Dans ses mi-adolescents en 1965, elle a fait ses débuts comme gloria gaynor avec "elle sera désolée", une seule personne profilée fabriquée et libérée par Johnny Nash (qui avait suggéré le changement de nom). Gaynor était une interprète chevronnée dans des discothèques et d'autres petits sites au moment où elle a été signée par Clive Davis à Columbia, l'étiquette qui a publié son deuxième célibataire, "Honeybee" de 1973, un numéro de proto-disco sucré et balayé arrangé par Norman Harris et produit par Paul Leka. Le renvoi de Columbia de Davis de Davis, Gaynor a été ramassé par MGM, qui a renoncé à nouveau "Honeybee" (comme "Biel Bee") et la dirigea dans le graphique R & B de Billboard en avril 1974. Gaynor a rapidement suivi de "Ne peut jamais dire au revoir", popularisé par le Jackson 5 pour Motown. La couverture de conduite a gagné de la traction dans les clubs. En octobre, il est apparu au sommet du premier diagramme à action disco de Pabboard et dans une enquête sur les DJ de la ville de New York, dirigé par Tom Moulton, qui a noté dans la colonne qui l'accompagne était l'enregistrement de club le plus chaud depuis Septembre. "Ne peut jamais dire au revoir" entré dans le tableau Pop en novembre et a culminé au numéro neuf de janvier suivant, autour de la publication de l'album titré comme-titré. Latéralement l'un d'entre eux ne peut jamais dire au revoir consistait à «abeille de miel», à la piste de titre, et à un remake d'un autre hit de Motown, les quatre tops «« Tendre la main, je serai là », mixte continuellement pour les danserflos par l'invention (et non crédité) Moulton. La suite a presque précisé la discothèque et "tendre la main, je serai là" culmina sur le graphique pop au numéro 60.